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Poêsie marinnée dans sa sauce au flux

  • Si seulement

    Si seulement...
     
    En un seul chant, unis
     
    Si seulement nous arrêtions de nous cacher derrière des écrans carrés, si seulement pouvait renaître, enfin, une seule fois, si seulement il suffisait d'une seule fois, d'une seule voix qui crie au secours dans les recoins pluvieux d'un coeur apeuré par des abats jours... Pourquoi? Pourquoi veulent-t-ils faire de toi lumière artificielle coupée de son ciel petit coeur d'or, pourquoi se saoulent-t-ils de cette odeur de mort, la moribonde machine à fric qui suce le suc sacré de la vie de nos chers animaux, des plantes et de nôtre planète si Grande, si Grande, ô combien, si seulement nous le savions, si seulement nous la voyions...
     
    Oui, il suffirait je crois, d'un seule fois, d'une seule voix, que tous ensemble nous nous rassemblions pour honorer ce qu'on à oublié, l'essence de l'essence de nos vie, aujourd'hui en danger plus que jamais pendant que nos enfants se perdent corps et âme dans la monstrueuse superficie des supercheries 100% superficielles sans se rendre compte qu'ils gâchent leurs sublime potentiels... S.O.S ... Tout droit venu de ton Soleil. Allez, il suffit d'une fois, aimes et, droit vers le ciel, ouvre tes bras...

  • La Clef...

    La clef qui ouvre cette porte

    Porte de sortie... porte de retour...

    La clef qui ouvre en quelque sorte

    Sur ce que l'on cherche depuis toujours

     

    La clef dont tu ne te sent pas digne

    Et que tu fais semblant d'avoir perdue

    Et si tu te complaît dans l'abîme

    C'est que tu crois qu'elle ne s'ouvrira plus

     

    Cette porte vers le soleil

    Ce chemin vers ton doux foyer

    Tu dis avoir brûlé tes ailes

    Être un vaut rien, un exilé...

     

    Parmi d'autres enfermé

    Dans une sombre prison

    Tu dis t'en contenter

    Mais tu perds la raison

     

    La clef qui ouvre cette porte

    Tu la tiens fermement dans ta main

    La clef de ta vie tu la porte

    Mais tu te punis d'être humain

     

    Alors oses mon frère

    comprends que tu l'as mérité

    Cette clef de lumière

    Qu'un jour le soleil t'as donné

     

    Et cesse de te croire seul

    Chercher une fausse lumière

    Pâle et triste reflet

    De ton âme première

     

    Dans cette prison détestable

    Rien n'est vraiment ce que tu crois

    Et ce que tu crois condamnable

    Ne te condamne qu'à tes choix

     

    Derrière la porte Mystique

    Il y à ta famille, tes frères

    Un jour ta mélodie Unique

    Se mêlera au chant des sphères...

  • Tu existes

    Tu existe et tous les regards du monde n'y changerons rien.

    Ta vie est ton oeuvre.

    Tu existes et ce n'est pas à eux que tu le dois.

    Il n'y à plus rien chez eux que tu envie secrètement

    Il n'y à plus rien que tu espères

    Plus rien que tu attends

    Et l'énergie déversée dans cette incolore quête

    vide de sens, abrutissante, infecte...

    Se transforme en plaisir sauvage

    Et profond comme la nuit

    Celui d'être l'heureux gagnant

    de la joie d'être en vie