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  • Vrille et dérape

    Vrille et dérape.

    Je te fuis

    Tu m’attrapes.

    Et c’est comme ça tout le temps,

    Toue la vie.

    sOuVeNt, tu fais des rêves en bronze

    qui sonnent comme des cloches le matin.

    Moi je te trouve beau, tu m’étonnes, tu me fragilise à vie.

    On est tous un peu comme toi, dans la nuit noire,

     

    On à tous le cœur à vif, au fond d’un puit en calcaire.

    On est tous avide d’eau claire.

    Je t’aime t’aime t’aime.

    Viens viens viens viens viens.

    Mon ami, mon pote, mon frero, mon copain, comme avant quand tous les printemps étaient uniques. Quand on fêtait le commencement de tout sans envisager aucune fin.

    C’était bien.

    Tu trouves pas ?

    La vie c’était un manège, on dansait.