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Pensées concassées - Page 3

  • Deviens qui tu es

    DEVIENS QUI TU ES,

    le possible seul capable d'ouvrir tous les possibles.

  • Qu'est ce qui en moi...

    Qu'est ce qui en moi me juge et me condamne?

    Aujourd'hui c'est moi qui condamne ce faux juge, cet usurpateur.

    Qui es tu pour me juger?

    N'est-ce pas bandant au final de déranger?

    De foutre le chaos pour donner une chance à l'amour de tout révolutionner?

    Sans ça on fait comment, on fait quoi?

    On reste crispés et froids? On continue de marcher droit?

    Droit vers le non-sens, l'absurdité, la décadense l'horreur des âmes et des cœurs?

    C'est ça que tu veux toi l'arnaqueur?

    Tu me juges juste parce que t'as peur.

    Parce que tu comprends pas à quel point tu es un enfant de la vie, une extension de l'infini et moi aussi...

    Quelque part tu ne saisit pas que je suis une part de l'Unité Cosmique, qu'en moi vibre la vie, que grande est ma famille.

     

    Tu n'as pas compris que le Divin nous aimes autant que la folie

    Et que vraiment je suis à ma place juste ici.

    J'ai ma place en ce monde

    C'est bon de le sentir, de le voir, de le dire.

    Oui je suis différente et oui j'en suis fière

    Parce que j'aime ce que je porte.

     

    Ma différence c'est un enfant plein d'amour et de vie venu tout bousculer.

    Défier la toile mortifère

    Ouvrir les portes.

    Ma différence, c'est juste le témoignage de la vie non-aliénée qui ouvre aux frères et sœurs d'autres chemins que ceux de la souffrance et de la peur...

     

    Ma différence elle es belle, douce par sa sauvagerie, puissante par son innocence, réconfortante par sa sincérité.

    Non je ne porte pas d'étiquettes

    Je ne m'identifie à rien d'autre qu'au feu au fond de mon être.

    Je ne cherche pas à me fondre dans la masse

    Car il est temps que chacun reprenne sa place.

    Que chacun mette les voiles vers le pays de sa conscience

    Et se dévoile dans sa propre transe.

     

  • Oseras-tu dépeindre ici ce que ton âme désire secrètement ?

    Il y à de nouveaux oiseaux.

    Je sens l’air qui me caresse le visage.


    Cette caresse n’est jamais interrompue.

    Les maisons sont claires et dégagées,

    Les fenêtres sont des portes

    Les portes n’ont pas de serrures.

    Les uns vivent à côté des autres.

    Ils se séparent et s’éloignent,

     Vaquent à leurs occupations,

    Mais ils finissent toujours par se retrouver,

     D’une façon ou d’une autre.

     Ils sont une famille

     Les inconnus sont des  nouveaux nés.

     Les enfants ont mille parents

     Les parents sont mille enfants

     Les vieillards savent jouer du banjo

     Et les vieilles femmes apprennent de nouvelles danses chaque jours

     Il n’y à pas de malentendus.

     Il n’y à rien qui mérite d’être caché.

     Tout se laisse vivre sans entrave

     Tout né, vit et meurt avec passion.

     Les désirs ont regagnés les cœurs

     Tout est nu, cru

     Tout est vrai et immédiat.

     Tout est plaisir sauvage

     Comme des enfants les êtres tour à tour se caressent le bras

     Et il n’y à rien de plus important que ça.

     Parce qu’ils sentent que c’est pour cela qu’ils vivent.

     Il ne fait pas froid dans leur rêves,

     Ni dans leurs yeux.

     Ils voient comme les chouettes et sentent comme les chiens.

     Ils ont la noblesse des arbres

     Et la malice des jeunes singes

     La gaité des colibris

     Et la grâce des cygnes

     Si ! Crois moi !

     Ils sont là devant moi

     Ils me font cygne moi aussi.

     Ils sont là car ils ont osé.

     Ils ont osé bravé l’écœurante rage,

     Les grands barrages,

     Acharnés à chanter l’espoir d’un nouvel âge

     Jour après jour, aurores après aurores

     Sans faillir

     Un couteau acéré pour tailler dans la roche

     Leurs impétueuses toiles

     C’est ca ! La moisson s’avance, du cœur à l’ouvrage ou bien je meurt, c’est ainsi que courage monte en fleur !