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  • Sur le chemin de la vie

    Sur le chemin de la vie

    parmi d'innombrables rêves

    Je navigue dans la nuit

    Vers l'inexorable trêve

     

    Dans le ciel qui me sourit

    Je plonge de tout mon être

    Et je bois cet infini

    Qu'il en devienne ma sève

     

    A chacun des jours qui passe

    l'aube dorée se révèle

    et cet amour, cette grâce

    me transporte et me soulève

     

    Tu n'as cas fermer les yeux

    Imaginer le soleil

    sentir son corps lumineux

    Te délecter de son miel

     

    Le feu rejailli des cendres

    Qui tournoie dans l'Absolu

    Qui se noie dans les méandres

    De tous nos cœurs mis à nus

     

    Aucun mot ne peux décrire

    ce qu'enseigne le silence

    c'est blasphème et démence

    que d'essayer de le dire

     

    Je n'ai rien dit en vérité

    Je n'ai rien dit mais j'ai pleuré

    Pleuré la renaissance au monde

    Qui jaillissait du vieux décor

    Déchirant les prisons immondes

    Qui condamnaient nos âmes à mort

     

    Merci à l'aube et au couchant

    Merci à l'éternel présent

    Merci à toi mon bel ami

    Miroir de l'étonnante vie

  • Jeu du hasard des mots

    Les libellules à 3 faces ne supportent pas l’exil

    Il y à celles à plumes et celles grasses, avec des yeux en forme de fil

    Elles ont des amis sans visages et des amis staphylocoque

    Elles sont heureuses quand ils sont là,

    Pour peu qu’ils portent des moustaches

    Le vent les portent ou le sang coule

    Le sang de la joie et du feu

    (Bien entendu)

    Il est d’un ridicule hercule, sur ses chevaux fanfaronnant

    Quand j’observe les libellules, il n’y à plus rien d’élégant.

    Je frise à l’automne,

    Je chavire à l’été

    Je chante en Gascogne

    Et je frissonne à pied

    J’aime manger des rêve comme il en pleut sur Prokofiev

    J’aime nager dans le dédain comme aujourd’hui jusqu’à demain

    Ainsi se faufile la vie

    En va et viens

    De fil en fil

    C’est un indescriptible en nuit

    Quand moi je cour et toi tu files

    Crapahuter dans les faubourgs

    Ce n’est pas ce que je voulais dire

    Mais il fait chaud comme dans un four

    Le meilleur laisse place au pire

    Mais j’aime ce qui s’y cache,

    dans le tiroir du pire castor

    Qu'il nous raconte ces histoires

    Je l’écoute oui je m’endort

    Comme une enfant je le comprends

    Satan n’est pas vraiment méchant…
    il à juste eu un p’tit chagrin

    Puis il à égaré ses clefs

    C’est comme ça que tout commence

    Mais le monde est très bien fait

    je te raconterait plus tard

    Le temps n’est pas aux rendez-vous

    Je vais me faire un face à face

    Digne d’un huit clos aux son des cloches

    Ding Dong...

  • Rêve...

    Cette nuit j’ai rêvé que des milliards de flamands roses s’échappaient du zoo.

    Ils n’avaient pas l’air Faciles. On aurait dit des béliers ou des lions.

    Ils l’ont fait parce qu’ils savaient tout et parce qu’ils en avaient envie….

    C’était prévu depuis longtemps.